Témoignages

Cette page n’a pas pour autre objet que d’informer et de permettre à ceux qui le souhaite de partager leur expérience, suite à la pratique du REIKI RYOHO, ce qui suit en aucun cas ne peut faire office de généralité car chaque personne est unique.

Nous rappelons que le REIKI RYOHO est une méthode de santé énergétique complémentaire à toute autre thérapie et en aucun cas ne peut se substituer à la médecine conventionnelle (code éthique)

Reiki est venu à ma rencontre en juin 2003 par l’intermédiaire d’une ancienne voisine que je n’avais pas vu depuis 5 ans, et qui dégageait à ce moment là une telle sérénité que je la reconnaissais pas, et ce qu’elle m’a dit sur le REIKI m’a tellement séduite que j’ai voulu rencontrer celui qui est devenu mon enseignant : Jean Christophe Montico et qui a donné un nouveau sens à ma vie.

Depuis toujours, je cherchais )à venir en aide aux gens, les soulager,,, et voilà la chose possible par le moyen du REIKI.

Mais avant de venir en aide à quiconque, REIKI est venu à mon aide. Jean Christophe m’a initié au 1er puis au second degré. Grace à cela, j’ai pu travailler sur moi-même, sur mon passé et me réconcilier avec la vie présente en m’acceptant enfin.

Depuis 1988, je souffrait d’une tumeur de tarlow dans la colonne vertébrale, inopérable puisqu’elle touchait la moelle épinière et était coincée entre les deux dernière vertèbres, ce qui m’emmenait petit à petit, et avec d’horribles souffrances continues, vers le fauteuil roulant (et c’est le moment que les médecins attendaient pour risquer l’opération puisque je n’aurais plus rien à craindre si l’opération échouait).

Les 6 derniers mois (de janvier à juin 2005) je prenais 20 boites de 16 gélules de lamaline, puissant analgésique à base de morphine et d’opium, ainsi qu’un anti dépresseur, et malgré cela, j’avais des difficultés à marcher, me lever et faire quoi que ce soit sans aide. Je ne conduisais plus depuis janvier. L’opération était prévue pour septembre avec en prévision un mois de coquille dans l’immobilité absolue, 5 mois de rééducation en milieu hospitalier et en tout 11 mois avant de reprendre une vie normale, ce qui ne m’enchantait pas du tout et m’effrayait un peu.

A partir d’avril 2005 et ce pendant 3 mois, j’ai reçu des soins quotidiens de REIKI, par Jean Christophe, mon enseignant, qui me les faisait à distance, par une amie qui venait tous les jours et pendant 15 à 20 min me faisait un soin sur la zone concernée, par 2 autres amies praticiennes REIKI qui m’envoyaient de temps en temps l’énergie REIKI et enfin par moi-même qui m’appliquais les mains.

Le 1er Juillet, je me suis levée, étonnée, sans aucune difficulté et sans douleur . J’ai fait quelques mouvement sans rien ressentir. Les jours suivants j’avais peur que le mal revienne, mais non, du jour au lendemain, sans préavis, la douleur m’avait quittée, et à ce jour, avril 2006, n’a pas reparu, et je ne la regrette pas du tout, vous pouvez vous en douter. !

Le 4 Juillet, donc 4 jours après ce 1er réveil sans douleur, j’avais rendez vous avec le chirurgien pour décider de la date d’opération, et là, après m’avoir vu me lever et marcher « normalement », il m’a repasser scanner et IRM pour constater avec surprise que la tumeur avait diminué de moitié et que cela ne nécessitait plus d’opération. Et comme pour lui la situation était impossible, il m’a demandé ce que j’avais fait et conseillé de continuer car cela tenait de l’incompréhensible. Le même constat à eu lieu chez mon médecin de famille qui m’a encouragé à continuer le REIKI.

Et depuis ce 1er Juillet, date de ma renaissance, je n’ai pris aucun anti-douleur ni antidépresseur. Depuis j’ai repris une vie normale, je reconduis, fais mes courses,de la marche, du sport et plein de choses oubliées en 10 années de souffrance, et j’arrive même à me recouper les ongles des pieds toute seule.

Depuis, je continue à pratiquer REIKI sur moi-même, sur ma famille, sur tous ceux qui viennent à moi et me demandent aide et soulagement, sur mes animaux qui apprécient beaucoup ces coins et viennent les demander … Et je suis toujours émerveillée du ressenti et des résultats obtenus.

Merci REIKI, merci Jean Christophe. La vie est un vrai cadeau qu’il faut savoir entretenir, aimer, remercier, respecter et qui est magnifiée par REIKI.

SB

Le 31.10.2017

Au mois de Juillet, j’étais arrivée à un tel point de révolte, de rupture avec la société, l’entourage… qu Jean Pierre m’a proposé de faire 4 séance de REIKI en suivant.

Dès la première fois, je me suis sentie soulagée, apaisée, mieux dans mon coprs et dans mon esprit.

Après plusieurs séances, je me sens plus sereine, plus en harmonie avec moi-même. Malgré deux interventions chirurgicales et les effets secondaire du Lévothyrox.

N. T.

Comment le REIKI m’a aidé ?

Durant toute l’année dernière, j’ai effectué des séances de Reiki auprès de Jean-Pierre.

Cela m’a énormément apporté d’autant qu’il s’agissait d’une année universitaire importante pour moi : l’année du concours de professeur de SVT, l’aboutissement de mes 5 années d’étude.

De nature anxieuse et peu confiante, ces séances m’ont d’abord permis de me libérer d’un poids que j’avais constamment au niveau du ventre. Les discussions avec Jean-Pierre m’ont fait comprendre beaucoup de choses sur moi-même : certaines causes, origines de ce comportement anxieux qui me colle à la peau depuis toujours, certaines facettes de ma personnalité que je ne connaissais pas.

Au fil des séances, je me suis sentie plus confiante : rapidement j’ai été beaucoup plus à l’aise dans des situations qui m’angoissaient (sans raison apparente) auparavant, j’arrêtais de rougir aussi souvent, je me surprenais à prendre la parole devant une assemblée sans avoir la « tremblote » (oui, étonnant d’être aussi timide pour quelqu’un se destinant aux métiers de l’enseignement…).

Juste avant mon concours, donc durant les dernières séances de Reiki avec Jean-Pierre, j’étais bien évidemment stressée mais très surprise de constater que j’arrivais à gérer de manière efficace ce stress, je me sentais bien plus confiante qu’en début d’année et appréhendais ce concours avec bien plus de détermination.

Je suis très reconnaissante envers le REIKI et Jean-Pierre pour tout ce qu’il m’a apporté : il m’a montré comment mettre de l’ordre dans mes émotions, les gérer au mieux et ainsi être plus confiante et sereine au quotidien. Aujourd’hui, nous n’avons plus de séances régulières mais je n’oublie pas tous ses conseils précieux et les applique dès que le naturel montre le bout de son nez.

Manon P.

Au dire des thérapeutes, une séance de REIKI apporte autant de bénéfice à celui qui la « donne » qu’à celui qui la « reçoit », Ayant expérimenter les deux situations, je peux le confirmer : à l’instar de ce qui se produit au cours d’un massage, le toucher du REIKI procure une réel bien être à celui qui touche et à celui qui est touché, Ce qui est plus étonnant, c’est que les effets apaisants et relaxants se produisent même dans les cas où le soin s’effectue à distance du corps.

Comme au cours d’autre thérapies corporelles, des émotions sont mobilisées, des larmes peuvent surgir et des prises de conscience peuvent survenir de manière tout à fait inattendue, Par ailleurs, picotements, impression de froid, frissons, bâillements, et détente musculaire sont autant de manifestations que l’on peut mettre sur le compte d’une stimulation parasympathique, Une étude réalisée à l’Université de South Glasgow en Écosse, montrait une diminution plus importante de la tension artérielle et de la fréquence cardiaque chez des sujets recevant une séance de REIKI que chez des personne se relaxant simplement ou chez qui le traitement était administré par un praticien non initié. L’effet parasympathique du REIKI semble donc particulièrement intense.

A l’Université du Texas, à Houston, une évaluation des effets d’une séance de REIKI révèle une diminution significative de l’anxiété, une baisse de la pression sanguine et une augmentation des IgA salivaires, sans doute en rapport avec la stimulation parasympathique et la cascade immunitaire qui s’ensuit. D’autre études montrent un effet favorable sur certaines douleurs chronique, les migraines, les souffrances postopératoires, la cicatrisation des plaies, l’asthme, des problèmes digestifs ou l’accompagnement des mourants. On a même rapporté une normalisation de la glycémie chez des patients qui présentaient des taux de glucose sanguin trop élevés, Malheureusement, la faiblesse méthodologique de la plupart de ces travaux empêche de tirer des conclusion définitives,

D’origine indienne, Sangeeta Singg est professeur de psychologie à l’Angelo State University, au Texas, Frustrée par le manque d’études bien conduites, elle a entrepris un programme de recherche en collaboration avec Linda Dressen, un « maître REIKI », Les deux femmes ont évalué les effets de dix séances de REIKI administrées à la fréquence de deux par semaine, sur un groupe de patients souffrant de maladies chroniques , Comparés à un groupe ayant reçu le traitement par un praticien non initié, les patients ayant reçu le « vrai REIKI » présentaient une nette diminution de leur douleurs, de leur anxiété et de leurs symptômes dépressifs, une légère amélioration de l’estime d’eux-même et une certaine ouverture spirituelle. La diminution des douleurs leurs était toujours présente lors du contrôle d’évaluation, trois mois après le traitement.

Il semble donc que le fait d’être réellement initié au REIKI fasse la différence. Poser les mains au endroits prévus par la théorie ne suffit pas, il faut que le praticien soit dans un état « propice à laisser l’énergie universelle couler naturellement entre lui et son patient ». On pourrait penser qu’en distinguant les vrais « maître REIKI » des faux, les patients mettent en route un effet placebo qui expliquerait la différence d’efficacité entre les deux types de traitement. Une étude réalisé à l’Université de la Saskatchewan, au Canada, montre cependant que les patients ne parviennent pas à différencier les traitements factices des vrai.

De tels résultats justifient sans doute l’engouement de certaines infirmière ou même de certains médecins, Comme le toucher thérapeutique, le REIKI a fait son entrée à l’hôpital. Depuis 1997, par exemple, les chirurgiens du Columbia/HCA Portsmouth Hospital en proposent une séance avant les opérations. Et des « maîtres REIKI » sont admis dans des centres aussi prestigieux que le Mémorial Sloane Ketering Hospital à New York, le Tuscon Médical Centre en Arizona ou l’Université Of Michigan Hospital à Ann Arbor. Au Columbia Presbytérian Médical Center à New York, Mehmet Oz, professeur de chirurgie et directeur un programme de médecine intégrée, a invité Julie Motz à pratiquer le REIKI sur ses patients transplantés cardiaques. De manière tout à fait surprenante, ceux-ci présentaient très peu de douleurs postopératoires, n’avaient aucun des symptômes dépressifs qui accompagnent les suites de ce genre d’intervention et n’ont manifesté par la suite aucun rejet de l’organe transplanté. Placebo ou non, le REIKI gagne du terrain. Au Canada et en Europe, je connais plusieurs kinésithérapeutes ou infirmière qui, sans en faire l’étalage, le pratiquent quotidiennement au chevet de leur patients.

Thierry JANSSEN Docteur en médecine, chirurgien et psychothérapeute

extrait de son livre « la solution intérieure, édition Fayard, page 311/314